Ô douce auberge, oasis réconfortante au milieu d’un GR54 battu par les caprices du ciel ! Sous une pluie fine et mélancolique, nous avons trouvé refuge, attirés par la promesse d’un café au lait réconfortant et d’une crêpe exquise. Quel festin pour l’âme et les papilles ! L’accueil y fut tout aussi délicieux, empreint de chaleur et de douceur, à l’image de cette généreuse dame qui, d’un sourire, a su rendre l’instant inoubliable.
Et que dire de ce pain au levain, fruit de son savoir-faire, que nous avons emporté pour notre bivouac ? Chaque bouchée, partagée à la lumière des étoiles, rappelait la saveur d’une hospitalité rare, celle que l’on chérit dans le secret de sa mémoire. Si vous passez par ces lieux enchanteurs, ne manquez point cette halte : elle est une parenthèse enchantée dans le flot du quotidien.
Encore mille mercis pour ces moments suspendus, qui résonnent encore en nos cœurs comme un doux écho de bonheur retrouvé.